Coronavirus et transports
Depuis un mois et demi, une nouvelle épidémie appelée coronavirus touche de plein fouet la Chine. Face au risque d’extension, les Etats semblent avoir pris la mesure du danger. Le ministère des Affaires Sanitaires français a en tout cas pris les dispositions visant à écarter d’éventuelles personnes revenant d’Asie, ou ayant été en contact avec d’autres personnes ayant pu être infectées.
Le danger d’une possible extension est à rapporter à la multiplicité des contacts entre les immenses méga-pôles de Chine. Pour sa part, le gouvernement chinois semble avoir engagé une véritable bataille contre ce nouveau fléau, qui pourrait avoir pour vecteur, un petit animal appelé Pangolin, commercialisé sur les marchés de la ville de Wuhan.
De même, les transports de personnes et de marchandises peuvent apporter un complément défavorable non négligeable. C’est pourquoi, les Etats prennent des dispositions d’interdictions de vols aériens, visant à réduire l’extension de ce risque, voir à isoler les passagers de retour. D’autres, passagers d’un bateau de croisière sont confinés à bord.
De son côté, le gouvernement des Etats-Unis n’est pas en phase avec l’ensemble de la planète qui tente de circonscrire le développement de ce coronavirus, comme le stras précédemment.
Une chose est sûre, il est loin le temps où des scientifiques avançaient l’idée que les virus portés par les animaux n’étaient pas transmissibles à l’être humain.
Si l’on y ajoute les tempêtes en cours, les incendies en Australie, les multiples inondations, etc, il est sans doute utile de penser que le monde est face à un réel dérèglement climatique qu’il faudra bien prendre à bras le corps,